La théorie de la gestion de la connaissance en entreprise (knowledge managment) s‘appuis sur le raisonnement par le principe de la construction mentale, dans ses aspects conscients et/ou inconscients chez l'être. Elle est initiée par George Kelly (New York : Norton, 1955).
Aujourd'hui la gestion de la connaissance par tous les travailleurs ou tous les Citoyens se posent toujours, afin d'augmenter la performance des résultats de l’entreprise et de l’environnement social. Toutes les populations devraient avoir une compréhension complète sur la stratégie de leurs structures d'entreprise et politique. Une telle prise de conscience est fondamentale pour un engagement actif des processus de remise en question organisationnels par apport à l’environnement externe du monde des "finances". Étant donné le besoin d’autonomie dans l’étude et le processus décisionnel, la gestion de la connaissance par tous les acteurs rendrait chaque être autant à l’aise avec la maîtrise de soi qu'avec l’auto-instruction. Ce qui impliquerait chacun vers un plus haut degré de responsabilité dans la mise en oeuvre des décisions prise dans un esprit d'équipe. A ce jour, malgré l'espace virtuel qui permet la synergie des compétences, Il n’y a aucune réflexion politique sur la volonté d’induire une coopération citoyenne dans les espace de travail en entreprise et à tous les niveaux de gouvernance.
Les travaux en neurobiologie, J Decety et als montre que les êtres naissent égaux prédisposés à satisfaire leurs egos transcendantaux en trouvant des solutions à la souffrance de l'autre.
Ils montrent que nous naissons avec le consolateur en nous, mais que l'éducation engourdie l'esprit.
Ainsi privé de son intelligence l'enfant est forcé à collaborer puis va au suicide de plus en plus jeune. ref : Emile Durkheim, Le Suicide, (1897)
.../...
a développer
Aujourd'hui la gestion de la connaissance par tous les travailleurs ou tous les Citoyens se posent toujours, afin d'augmenter la performance des résultats de l’entreprise et de l’environnement social. Toutes les populations devraient avoir une compréhension complète sur la stratégie de leurs structures d'entreprise et politique. Une telle prise de conscience est fondamentale pour un engagement actif des processus de remise en question organisationnels par apport à l’environnement externe du monde des "finances". Étant donné le besoin d’autonomie dans l’étude et le processus décisionnel, la gestion de la connaissance par tous les acteurs rendrait chaque être autant à l’aise avec la maîtrise de soi qu'avec l’auto-instruction. Ce qui impliquerait chacun vers un plus haut degré de responsabilité dans la mise en oeuvre des décisions prise dans un esprit d'équipe. A ce jour, malgré l'espace virtuel qui permet la synergie des compétences, Il n’y a aucune réflexion politique sur la volonté d’induire une coopération citoyenne dans les espace de travail en entreprise et à tous les niveaux de gouvernance.
Les travaux en neurobiologie, J Decety et als montre que les êtres naissent égaux prédisposés à satisfaire leurs egos transcendantaux en trouvant des solutions à la souffrance de l'autre.
Ils montrent que nous naissons avec le consolateur en nous, mais que l'éducation engourdie l'esprit.
Ainsi privé de son intelligence l'enfant est forcé à collaborer puis va au suicide de plus en plus jeune. ref : Emile Durkheim, Le Suicide, (1897)
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a développer
- comment sortir du modèle républicain sectaire
- K Marx avait annoncé qu’après la chute des républiques à économie de plan, il n'y aurait plus qu'une seule classe. Es ce une classe unique "tous cadre ?" ou tous nous nous impliquons ? Quand les sectes Patrons sortiront elles du model de production individuel ?
- Quand rendra t on à la perfection, la créativité collective.
- Pourquoi pas envisager l'open source des brevets.
